LA cuisine… tout un programme … tantot rébarbative tantot attirante mais effrayante
mais encore :
La cuisine
Plans de repas
en période de rééquilibrage, je fais preuve de discipline et d’organisation. Je suis des plans de repas qui m’ont été fournis par un professionnel (en cabinet ou sur Internet). Toutes ces suggestions de repas qui me sont proposées ont été bien pensées. Je peux donc avoir confiance dans ces menus à la fois variés et équilibrés sur le plan nutritionnel. Si j’ai plusieurs formules à ma disposition : c’est à moi de faire les bons choix et de les réajuster éventuellement en cours de régime. Pour réussir à maigrir, j’ai tout intérêt à suivre les indications alimentaires qui me sont données. Toutefois, si je ne peux pas suivre ces suggestions à la lettre, j’essaie de ne pas trop m’en éloigner.
Recettes minceur
Dès mon inscription, j’ai accès à une base de données qui comprend des milliers de recettes minceur. L’avantage, c’est qu’elles sont toutes commentées et évaluées (de 1 à 4 étoiles) par les membres d’aujourdhui.com. Les personnes qui suivent le programme ajoutent leurs remarques après les avoir cuisinées et goûtées, et elles font souvent part de leurs propositions pour améliorer la qualité gustative des plats. Cette base de recettes est donc alimentée par les contributions des participantes et je vais y trouver aussi bien des idées quand je reçois à dîner que des occasions de m’exprimer lorsqu’une recette me pousse à réagir. Je peux même suggérer mes propres spécialités maison.
Cuisine en famille
Pour bien intégrer mon régime dans la vie quotidienne de la famille, je cuisine les mêmes plats pour tout le monde. Cela élimine le sentiment de frustration et m’empêche d’être tentée de picorer dans les assiettes des autres. Je prends ma portion, plus ou moins importante selon la richesse calorique du plat, mon conjoint et mes enfants se serviront à satiété. De leur côté, ils pourront ajouter un peu de beurre, de fromage ou de crème s’ils en ont envie. Pas moi ! Je profite de ce moment de partage en famille et j’apprécie mes lasagnes bolognaises allégées (c’est-à-dire sans béchamel).
Un peu de sel ?
Le sel ayant la propriété d’ouvrir l’appétit, je ne resale jamais avant de goûter un plat. Je laisse même la salière dans le placard pour éviter que ce geste devienne un réflexe. Pour relever le goût d’un plat, je songe davantage aux aromates (oignons, échalotes…), mais aussi aux herbes (persil, estragon, basilic…) et aux épices (curcuma, curry, paprika, noix de muscade…). De temps en temps, j’épice même plus fortement grâce au Tabasco ou à la harissa.
Peser ses aliments
Ce geste me permet de ne pas augmenter imperceptiblement mes portions d’aliments les plus caloriques. Ainsi, je pèse une ou deux fois par mois la quantité de fromage que je m’accorde en fin de repas. Selon le type de fromage considéré (gruyère, camembert, parmesan…), je m’aperçois que la portion de 30 g ne correspond pas au même volume. Même chose pour les tranches de pain : je suis sûre de consommer la juste quantité malgré les différences de densité de chaque pain (complet, campagne, baguette…)
Le grignotage
Tout en m’efforçant de combattre cette mauvaise habitude de grignoter en cuisinant, je prévois des légumes en bâtonnets (tomates, carottes, céleris, concombres, etc.) et des petits fruits rouges (fraises, framboises, etc.) à picorer. Le fait de consommer ces petits en-cas sains et peu caloriques m’évite de craquer sur le fromage ou les biscuits apéritifs. Si je picore des aliments gras, salés ou sucrés, mon appétit ne sera pas au rendez-vous pour le repas. En conséquence, je mangerais donc moins mais mal. Et par la suite, je vais courir le risque de craquer à un moment ou un autre de la soirée.
source : www.actinutriton.com – Arnaud Gobin
Ceci termine nos publications spéciales Salon “Brunehaut au féminin”, je vous donne rendez vous sur mon stand ce dimanche 12 mars 2017.
a très vite
Arnaud